jeudi 27 décembre 2012

Dédicace « Les Bleuets de l’été » à Sainte Foy l’Argentière

Venu présenter son troisième ouvrage, Christian Mens était à la Maison de la Presse samedi 22 décembre avec « Les Bleuets de l’été » qu’il dédicaça. Véritable ouvrage d’historien, il contient une partie romanesque se greffant sur les événements authentiques de la guerre 1914-1918. Ce fut l’occasion de belles rencontres et même de retrouvailles avec les lecteurs de « La bataille de l’Arbresle ». 

C’était la deuxième rencontre-dédicace de Christain Mens à Ste Foy. 
(Photo Monique Allix-Courboy)

Christian Mens ne fait pas uniquement œuvre d’historien, il est aussi passionné de photos, particulièrement de photos aériennes. Coauteur d’un ouvrage d’art sur les clochers et les cloches du Pays de l’Arbresle, il l’illustra d’une centaine de photos, certaines de cloches fondues avant la Révolution ! 

Récemment au cours de vols en hélicoptère au-dessus du Beaujolais, il prit plus de 500 clichés. Gageons qu’ils ne resteront pas dans l’ordinateur et qu’un nouvel ouvrage permettra au public d’en bénéficier. Certains lecteurs lui ont demandé de s’intéresser aux vues aériennes des Monts du Lyonnais. 

Voir en ligne : Les Bleuets de l’été


jeudi 20 décembre 2012

Dédicaces samedi 22 décembre à Ste Foy l'Argentière


En 2010, Christian Mens a dédicacé son premier livre « La bataille de L’Arbresle » invitant le lecteur dans un devoir de mémoire. Puis en 2011, ce Croix-Roussien, breton d’origine, installé à Lentilly depuis 1967, s’intéressa à l’histoire d’un monument de sa commune : l’église dont la construction fut laborieuse à tout point de vue. Mais l’église n’est pas une oasis en plein désert donc c’est sur l’histoire de la paroisse de Lentilly depuis 1840 que porte ce second livre. 

Samedi 22 décembre, de 10 heures à midi, Christian Mens sera à la Maison de la presse, place de la Gare, pour présenter son troisième livre « Les Bleuets de l’été », ouvrage très complet, presque documentaire, sur le vécu d’un village rural des Monts du Lyonnais à partir d’août 1914. Parti d’un cahier et de notes éparses trouvés dans un grenier, y ajoutant quelques personnages imaginaires, l’auteur a donné vie à une chronique au plus près de la réalité de l’époque et retraçant l’histoire d’une commune française qui paya un lourd tribut à cette guerre qu’on avait cru être la « der des ders ».

samedi 15 décembre 2012

Lentilly : Christian Mens a dédicacé son livre à la maison de la Presse

Christian Mens a dédicacé son dernier ouvrage : « Les Bleuets de l’été » dimanche 9 décembre, à la Maison de la Presse. Et c’était bien là son public, puisque le livre raconte la guerre de 14 vue depuis Lentilly.

Dans cet ouvrage très complet et quasi documentaire, Christian Mens retrace une vision, au rythme des saisons, du vécu de ces longues années dans ce village rural des Monts du Lyonnais. À l’origine, un cahier de notes éparses retrouvées dans un grenier, d’où a surgi une chronique au plus près de la réalité de l’époque, avec les noms des conscrits, des blessés, des décorées, des disparus.

Tarare : Christian Mens a dédicacé ses 3 ouvrages sur la région de Lentilly

Samedi 1er décembre, Christian Mens a dédicacé ses trois livres à la maison de la presse l'Apostrophe à Tarare. L’écrivain, né en 1947, est installé à Lentilly.

Son ouvrage, « La bataille de L’Arbresle », écrit en 2010, figure sur le film du Festival international du livre militaire 2011 de Saint-Cyr Coëtquidan. Il relate les affrontements des 19 et 20 juin 1940 entre les troupes allemandes et les forces coloniales françaises à L’Arbresle, Fleurieux et Lentilly. 

Son deuxième livre raconte les péripéties de la construction de « L’église de Lentilly ». À travers l’histoire de ce monument, c’est aussi de celle de Lentilly dont il s’agit. 

Cette année, Christian Mens a achevé « les Bleuets de l’été » où il retrace une vision des longues années de la Première Guerre Mondiale depuis Lentilly.

Les Bleuets de l’été », ou la vie des familles rurales durant la Grande Guerre

Le lentillois Christian Mens dédicaçait, samedi 24 novembre, son dernier ouvrage « Les Bleuets de l’été », dans une grande surface arbresloise.

Rencontre.

De quel thème traite votre roman ?
La grande guerre, celle de 1914, qui a tant marqué les familles, dans leur chair. Un grand nombre de jeunes hommes ont été tués, beaucoup sont rentrés gravement mutilés. Dans chaque village, presque toutes les familles ont été touchées.

Pourquoi ce thème ?
Mon premier ouvrage, « La bataille de L’Arbresle », avait pour sujet, le combat et le massacre des tirailleurs sénégalais, sur Lentilly, en juin 1940. J’y évoquais également la vie des lentillois, mais aussi l’héroïsme de certains d’entre eux, à travers un premier acte de résistance. Mon second ouvrage, la construction de l’actuelle église paroissiale de Lentilly, dans la seconde moitié du XIX e siècle, était l’occasion d’évoquer la vie des lentillois, au tournant des XIX e et XX e siècles. La grande guerre s’imposait logiquement.

Que raconte votre roman ?
La vie des familles lentilloises, de 1914 à 1920, du départ des hommes mobilisés, à leur retour dans leurs foyers. L’impact de leur départ, sur la vie de tous les jours. Les travaux de la ferme et des champs, mais aussi des commerces, des activités artisanales. Je raconte également l’activité dans les bonnes œuvres, des dames de la bonne société. Celles-ci tricotant chaussettes et écharpes. Les lieux où ont combattu des lentillois : tranchées, Dardanelles, Salonique. Mais aussi, la traversée du village, par des régiments se rendant à Toulon pour embarquer pour les fronts, contre l’Autriche-Hongrie ou la Turquie.

Comment vous êtes-vous documenté ?
À partir d’archives, mais aussi en rencontrant les enfants de combattants. Jean Cozona en contant la vie de son père, sur le front des Dardanelles, m’a été d’un précieux concours. Mon livre est très peu romancé. Aussi, pour le rendre plus vivant, j’ai inventé quelques personnages, comme le gazetier. Pour cela, je me suis inspiré de certains habitants actuels. Leur nom, dans le roman est l’anagramme de leur identité.

Pourquoi les Bleuets de l’été ?
Le tocsin, pour la mobilisation a sonné, dans tous les villages de France, en milieu d’après-midi, le 1 er août 1914. Or, le bleuet est une fleur poussant dans les prés et champs, en été. De plus, il est devenu le symbole des combattants français.